La prédatrice...

Publié le par Lisouille la grenouille

Je n'étais pas partie dans l'idée de trouver l'âme soeur je voulais juste baiser comme une vieille salope
(spéciale dédicace à J-Y qui me sous entend cet article depuis un bon moment…bonne fiction….âmes chastes s’abstenir SVP)

 

Le manque de sexe ne s'était pas fait sentir pendant toutes ces années et d'un coup d'un seul une pulsion à 9 sur l'échelle de je n'sais qui, qui n'en compte que 5 de toutes les façons me mis dans une position des plus délicates, il fallait que j'assouvisse mes pulsions au plus vite, dans l’urgence.

 

J’éprouvais des désirs aux visions malsaines* qui me parvenaient à tous moments…
il fallait que je sente entre mes mains une peau masculine des épaules musclées, un dos lisse et dessiné, que ma bouche découvre à nouveau la douceur d’un pénis qui se tend et que ma langue joue de bas en haut en titillant le frein, il fallait que j’entendes les gémissements de cette torture où l’ homme croit dominer alors qu’il est entouré d’une cavité chaude et dentée toujours reliée à un cerveau humain qu’il ne maîtrise pas…..L’ambiguïté d’une fellation m’a toujours beaucoup plue….

 

Je comprenais l’image de la chatte en chaleur car mon dos se creusait, j’étais sensible et réactive à mes propres caresses.Je ne pouvais pas sortir dans mon village comme ça ni même dans une ville voisine, je ne suis pas un personnage public public mais quand même….je décidais donc de passer la frontière vers l’Italie mais avant ça il fallait que je me prépare.

 

Peu importe qui me défoncerait, je ne voulais pas qu’il me touche au-delà de ce que JE voulais donc…je mis un corset, des portes jarretelles un string et une jupe mi cuisse, une chemise transparente des bottes spécial pétasse et un manteau histoire de ne pas trop me faire repérer dans le quartier.

 

Plus je me maquillais, plus l’adrénaline montait, la petite maîtresse d’école se transformait en poufiasse à tendance salope et je me sentais puissante, détendue et affamée.
Je me fichais bien de la vitesse avec laquelle j’avais jeté ma « robe de bure » et mis mes années de retenue et ma pudeur au tapis, personne ne saurait, de toutes façons j’emmerdais tout le monde, ce soir c’était mon soir.

 

Juste après Cuneo, un grand hangar transformé en boîte depuis des années était déjà blindé, merde je n’ai pas envie de tourner mille ans pour trouver un point de chute, j’enlevais mon manteau ce qui me hérissa la peau et fit pointer le bout de mes seins qu’on devinait sous le bustier.
Le videur m’aperçut je n’eu qu’à lancer un regard de chaudasse pour qu’ il me fasse passer devant les personnes qui se gelaient les miches à attendre, comme si il me connaissait le gars , c’était trop facile !!!

 

Une fois à l’intérieur j’eu un bref instant l’appréhension de me trouver face à un parent ou une connaissance et lorsque je fis face à mon reflet sur un miroir, j’eu moi-même du mal à me reconnaître…

 

Mon ticket me permis de prendre un whisky coca histoire de me mettre à bonne température, la musique fit le reste, j’étais en train de me déhancher lorsqu’un beau gosse commença son manège. Je n’étais là que pour une seule chose et je me fichais un peu de la concurrence, le premier qui me plairait ferait l’affaire.

 

Shake that thing …Sean Paul suivi d’Anastasia  left outside alone ça y étais, il avais mis sa main dans le bas de mon dos et s’était rapproché, il ondulait contre moi, l’excitation était palpable. Alors que je laissais les bras en arrière levant la tête pour le défier du regard, je sentis mes cheveux s’arracher de mon crâne.
Une espèce de furie de 95 kilos pour 1 m 12 était en train de s’agiter derrière moi…Horreur, elle était au bout de la main en question, elle sauta sur le charmant jeune homme qui semblait encore plus étonné que moi, elle se mit à le frapper en l’insultant…

 

Le videur prit la petite furieuse pour la foutre dehors et Joël s’enquérit    de moi

 

Ça va me hurla t-il
oui je crois dis je en me frottant la tête, je ne m’étais jamais faite agresser de la sorte, et toi hurlais-je ?
Oui mais qui était cette folle ?
ah tu ne la connais pas
mais non pas le moins du monde, tu viens boire un verre ?
Oui je crois que nous en avons bien besoin, quelle chute vertigineuse…

 

Tout était foutu à moins que …..

 

La suite cet après midi, bisous

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
P
habemus papam !
Répondre
L
elle est où la suite ????<br /> ;)
Répondre
J
vi vi la suite...vite..je suis .......<br /> p...moi j'ai tjs peur...aie....les dents...<br /> a cette pm ..argggggggg
Répondre
S
La suite...vite...
Répondre
S
T'as vraiment des descriptions... "grandes" (du pur jus dragonien, sans la retenue de bon ton lol)<br /> L'évidence de notre pouvoir au moment de la fellation est une chose que pas mal de filles n'ont toujours pas réalisé! (qu'est ce qui nous retient de serrer les dents àce moment là hein? lol)<br /> La suite... avant que je ne parte!!! viiiiite!<br /> Bises les filles et je retourne à la valoche (même pas dézippée, pour vous dire)
Répondre