As de pique (Etre habillé comme un...)
As de pique était utilisé dans un sens très péjoratif au XVIIème siècle (il l’est encore aujourd’hui… et plus que jamais d’actualité quand on voit ce qui se promène dans la rue… ok j’arrete là ma « langue de pute attitude »…), car il mettait l'accent non seulement sur la mauvaise mise de l'individu concerné, mais le qualifiait aussi de ridicule ( Dieu merci le ridicule ne tue pas…il y aurait des millions de morts….).
De nos jours seul l'habillement est mis en cause, qu'il s'agisse d'un aspect débraillé ou d'un manque de goût ( va pour l’aspect débraillé …ça a un petit coté « Grunge » top tendance comme diraient les journaleuses-poufiasses de Elle Magazine….Pour le manque de goût alors là je dis : STOP !!!! Ok chacun ses mauvais goûts mais quand même faudrait voir à pas abuser non plus quand je suis obligée d mettre mes lunettes de soleil par temps de pluie pour eviter les agressions vestimentaires de mes concitoyens et concitoyennes ça commence à me gonfler grave…)
Il semblerait que certaines personnes, à l'imagination fertile et délirante, aient comparé au XIXème siècle le symbole du Pique avec le croupion d'une volaille ( Après enquête poussé et vérification, oui effectivement l’arrière train des cocotes a bien cette forme…)... reconnaissons donc la crédibilité de l'image.
Ainsi, recevoir l'appellation d'As de Pique reviendrait à être traité, excusez-moi du peu, de "trou du cul" de cocote ou de vieille poule au choix…, qualificatif plus qu’ irrespectueux ( Ouais et alors ???).
Certains préfèrent comprendre l'appellation As de Pique comme un autre qualificatif ( il faut toujours des contestataires, ça peut eventuellement faire avancer le schmilblick…), toujours peu agréable, qui signifierait "mauvaise langue", langue de vipère ou langue de pute (Héhéhéhé !!!). Cela s'expliquerait par les consonances ( Non vous n’avez pas revé il y a bien Con dans ce mots…comme quoi …) assez étroites entre As de Pique et aspic, désignant au sens propre certains serpents venimeux d'Afrique et d’ailleurs …, et, pris dans le sens langue d'aspic, se rapportant justement à un individu médisant et calomniant ( Ouééé tout ce que j’aime…).
Maintenant, qu'il s'agisse de mauvaise langue ou - pardonnez-moi encore ( en fait non ne me pardonnez pas … je suis vulgaire ?? Tant mieux !!!) - de trou du cul, le parallélisme reste difficile à faire avec la notion d'habillement d'un individu... le mystère reste entier... Sherlock …. Au secours !!!!!