LA SUITE tant attendue hum hum où étions nous ?
- tu veux boire quoi ?
- un whisky coca (damned moi qui ne boit jamais je ne vais même pas pouvoir conduire si je continue mais bon…)
- c’est quoi ton prénom au fait ?
- euhh Sophie
- Joël !!!
- Eh bien enchantée, euuhh j’avoue que c’est un peu spécial comme soirée tout d’un coup
- Ah tu trouves, ce genre de choses arrive, lorsque les gens supportent mal l’alcool, mais dis moi, c’est la première fois que j’te vois par là
- Oui (et la dernière pensais-je tout bas, vu le scandale…dans la série soyons discrète j’ai vu beaucoup mieux)
- Ça te dirais d’aller dans un endroit plus calme, je suis dans un hôtel à 500 mètres d’ici, je suis en voyage d’affaire…je viens souvent dans la région…et toi tu es en vacances…
- Oui c’est ça en vacances, je pars demain..( mais je me tape de son curriculum vitae et de son emploi du temps en plus à celui là aller oust qu’on en finisse après tout ma soirée ne sera peut être pas tout à fait foutue si au moins j’atteins mon but) et ok je veux bien aller ailleurs
Nous prîmes ma voiture pour faire les fameux 500 mètres et arrièrent dans un hôtel 4 étoiles super joli.( détail le jour où j’écrirais un livre…)
Il avait une suite et m’accueilli avec tact dans un petit salon contigu à une chambre, il sortit des mignonnettes d’alcool de son mini bar, obscurcit la pièce grâce au variateur de lumière et mis un fond musical.
- où en étions nous déjà ? tu danses ?
- mais bien sur lui dis-je un poil rassurée de ne pas avoir à lui raconter une vie inventée de toutes pièces pour l’occasion …bien joué mon gars…
l’alcool, son corps contre le miens enlacé pour un bon vieux slow kitch fit monter la pression, une sorte d’abandon au moment présent rendait la scène vibrante.
Il déploya ses larges mains l’une dans le creux de mes reins, et l’autre montait sur le haut de ma hanche pour atteindre le côté de mon sein, il dégagea son pouce et fit pivoter très lentement sa paume pour ne rien décoller cherchant du bout du doigt un passage vers la peau.
Parfaitement décidée et bourrée, je redressais la tête jusque là timidement abandonnée sur son épaule, pour le regarder en face.
Maintenant sa main dans le bas de mon dos, je la fis lentement glissée sur mes fesses sans détourner les yeux, puis avec l’autre je me mis à déboutonner mon chemisier.
Il esquissa un sourire, je me mis sur mes pointes pour coller mes lèvres aux siennes, puis, mes doigts glissèrent dans ses cheveux et je fis rentrer la pointe de ma langue sur le bord de ses lèvres.
Il perdit alors tout contrôle « EUREKA »
Sa langue rejoignis la mienne et se caressèrent avidement
Il fit monter ma jupe et découvrir mes dessous, hhhuummmmm après avoir « tâter » le terrain il m’assit sur une table
Je mis moins de temps à déboucler sa ceinture, le débrailler faire glisser son pantalon et son boxer vers ses genoux, ah les filles il avait un cul formidable.
Sa langue quitta l’intérieur de ma bouche pour glisser dans mon cou, il fit sortir mes seins du bustier pour les prendre à plein bouche, il mordillait délicieusement les pointes durcies.
Alors que ses mains vinrent relayer sa bouche, il fit tomber sa tête entre mes jambes…trop beau pour être vrai, un homme qui lançait lui-même les préliminaires sans avoir mis une seule fois son pénis dans ma bouche, je me lassais faire, heureuse, les yeux mis clos je me contorsionnais et de haletais prenant soin d’oublier que j’étais Sophie mais plutôt une bête vicieuse qui hummmmmmm sentait le plaisir monter.
Il se redressa et me pénétra lentement et profondément puis, me saisit sous le cuisses et le mit debout, il m’embrassait, je n’avais rien fait d’autre que me laisser faire et la jouissance venait c’était divinement excitant, il maintenait un rythme régulier prenant soin d’intensifier l’étreinte, je me mis à lui dire que c’était bon, que je j’étais en train de jouir, à ces mots ils m’allongea sur la table et se fit plaisir et jouissant en parfaite harmonie avec les contractions de mon vagin.
Au lieu d’arrêter net, il ralentit le rythme. Lorsqu’il se retira ce fut pour me prendre à nouveau dans ses bras, m’étendre dans le lit, m’entourer de ses bras.
A 5 h 30 un bruit à l’extérieur me réveilla, je pris me habits en silence, comment se passer à présent d’un si merveilleux amant ? je ne savais rien de lui, il n’avait pas d’alliance mais peu importait , il fallait que je revienne à la réalité, une fois prête je sortis à pas feutrés et m’enfuis comme une voleuse, je pris ma voiture et fit chemin inverse.
Ouffff j’ai la tête qui fais un solo de batterie et je vais aller me re –coucher…Saloperie de grippe
Bisous à vous tous et à demain voir…la prochaine fiction